Nouvelles de My Whale Report – Juin 2024
Photos des reporters du mois :



Photos : En haut à gauche, Lori Payne, en haut à droite, Kumiko Hawkes. En bas, Susan Larlee



VOS RAPPORTS D’OBSERVATION ONT UN GRAND IMPACT !
Merci d’avoir pris le temps de signaler vos observations ! Les rapports d’observation de scientifiques citoyens comme vous sont essentiels pour surveiller et protéger les cétacés en péril (baleines, dauphins et marsouins) et les tortues de mer dans nos eaux.
Il est essentiel de surveiller fréquemment la répartition et l’abondance des cétacés et des tortues de mer pour comprendre l’état de leur population et les menaces auxquelles ils sont confrontés. Cependant, la nature vaste et éloignée de notre littoral peut rendre difficile l’évaluation fréquente de ces populations par le biais de relevés scientifiques traditionnels. Comme solution, Ocean Wise gère l’Ocean Wise Sightings Network (OWSN), un réseau diversifié et dévoué de membres de la communauté côtière qui
signalent régulièrement leurs observations à WhaleReport à l’appui de la recherche axée sur la conservation.
La base de données de l’OWSN est la principale source d’information sur la présence des cétacés en Colombie-Britannique. Depuis 1999, des sous-ensembles de cette base de données ont soutenu des centaines de projets de recherche axés sur la conservation.
VOS RAPPORTS EN TEMPS RÉEL PROTÈGENT LES BALEINES !
12 des 23 espèces de cétacés (baleines, dauphins et marsouins) que l’on trouve en Colombie-Britannique sont actuellement inscrites comme étant « en péril » en vertu de la Loi sur les espèces en péril du Canada. Les collisions avec les navires et les perturbations sont considérées comme des menaces majeures pour le rétablissement des 12 espèces inscrites.
Les cétacés peuvent être frappés et mortellement blessés par des navires. Des études ont démontré que la probabilité de heurter des cétacés augmente avec la vitesse du navire. Les navires naviguant à moins de 10 nœuds ont un faible risque de heurter et de blesser mortellement un cétacé, alors que voyager à plus de 17,5 nœuds augmente considérablement ce risque. La réduction de la vitesse en présence de cétacés donne plus de temps à l’animal pour éviter le navire venant en sens inverse et au navire pour ajuster son cap.
Les cétacés sont également affectés par la présence des navires et le bruit. Les navires peuvent perturber ou modifier des activités essentielles à la survie, comme la recherche de nourriture, la plongée, le repos, l’évitement des prédateurs, la communication, la socialisation, l’accouplement et l’allaitement des veaux. Le bruit des navires peut généralement être réduit en opérant en dessous de la vitesse de départ de la cavitation et en évitant les accélérations rapides, ainsi qu’en gardant une distance de 200 m ou plus avec les cétacés (400 m ou plus pour le tueur).
baleines !).
Le WRAS aide les grands navires à atténuer leur impact sur les populations de cétacés vulnérables en les sensibilisant à la présence des baleines et en leur donnant le temps de mettre en œuvre des mesures d’atténuation telles que ralentir ou détourner de cap.

Ce projet a été financé en partie par le gouvernement du Canada dans le cadre du Programme d’intendance de l’habitat de Pêches et Océans Canada.
Ce projet a été partiellement financé par le gouvernement du Canada dans le cadre du Programme de conservation des habitats de Pêches et Océans Canada
Posted August 15, 2024 by Rosemary Newton